© Luca del Pia

Acteur.rice/Danseur.se/Performeur.se/ Metteur.e en scène/Auteur.rice
  • 2021
    « Sovrimpressioni »
    texte, mise en scène et interprétation
  • 2021
    « Avremo ancora l’occasione di ballare insieme »
    texte, mise en scène et interprétation
  • 2019
    « Qui a tué mon père » d'Edouard Louis
    adaptation et mise en scène
  • 2018
    « Quasi niente »
    texte, mise en scène et interprétation
  • 2018
    «  Scavi »
    texte, mise en scène et interprétation

Basés à Rome, auteur.rice, acteur.rice, metteur.e en scène, performeur.se.s, Daria Deflorian et Antonio Tagliarini collaborent depuis 2008. Antonio Tagliarini est au bénéfice d'une formation de danse contemporaine enrichie d'un parcours théâtral et performatif. Daria Deflorian est diplômée en disciplines des arts et du spectacle à l'École de Théâtre de Bologne, avec des intégrations postérieures en théâtre et en danse contemporaine. Ensemble, ils puisent leur inspiration dans un terrain à l’intersection des arts contemporains et d’un questionnement qui tient de la philosophie, de la sociologie, de la réflexion politique. Le duo cherche à explorer des formes alternatives d’alliance entre la scène et le public.

Après « Rewind », un hommage au « Café Müller » de Pina Bausch présenté dans plusieurs festivals européens, ils créent en 2009 au Teatro Palladium « From A to D and back again » d’après Andy Warhol. Un an plus tard, leur « Progetto Reality » débouche sur une installation/performance et sur un spectacle. « Ce ne andiamo... » est esquissé en décembre 2012 à l’invitation de Gabriele Lavia et du Teatro di Roma, avant de trouver sa forme définitive et sa distribution complète en novembre 2013 au Romaeuropa Festival. Le spectacle suivant « Il cielo non è un fondale » est créé à l’automne 2016 au Théâtre de Vidy à Lausanne. Dans cette pièce, ils poursuivent leur recherche autour de la relation entre figure et toile de fond, histoire personnelle et collective. Ils entament ensuite un travail autour du film « Désert rouge » de Michelangelo Antonioni, qui aboutit en 2018 en un spectacle pour cinq interprètes, « Quasi niente », et une performance pour espaces non théâtraux, « Scavi ». En 2020, ils mettent en scène la version italienne du texte « Qui a tué mon père » ("Chi ha ucciso mio padre) d'Edouard Louis - (édité en Italie chez Bompiani 2019) avec dans le rôle-titre Francesco Alberici qui remporte pour sa prestation le Prix Ubu du Meilleur acteur under 35. Les textes de leurs spectacles sont édités chez Titivillus, Cue Press et Sossella editore.